Les plaques d’immatriculation
Il existe de nombreux types de plaques d’immatriculation différents qui ont été utilisés au fil des ans au Québec, chacun ayant sa propre histoire et sa propre esthétique.
Il existe plusieurs façons de commencer à collectionner des plaques d’immatriculation du Québec. Il est possible d’acheter des plaques d’occasion auprès de magasins d’antiquités, de vide-greniers, de ventes de garage et de ventes aux enchères. Il est également possible de trouver des plaques sur des sites de vente en ligne tels qu’eBay ou Etsy. Il est important de vérifier l’état des plaques avant de les acheter, car certaines peuvent être rouillées ou endommagées.
Il existe plusieurs clubs de collectionneurs de plaques d’immatriculation au Québec qui rassemblent les amateurs d’histoire routière et de véhicules anciens. Ces clubs organisent souvent des événements pour les membres, tels que des expositions de plaques, des rencontres de collectionneurs et des sorties en véhicules anciens. Ils peuvent également offrir des publications, des publications en ligne, des forums de discussion et des services de recherche pour les collectionneurs.
Voici quelques-uns des clubs les plus connus :
- Les Amis des Plaques d’immatriculation du Québec (APQ)
- Club Québécois des Plaques d’immatriculation (CQPI)
- Les Collectionneurs de Plaques Québec (CPQ)
- Club des Plaques d’immatriculation Québec (CPIQ)
- Club de Plaques d’immatriculation Québec-Ouest (CPIQ-O)
Il est recommandé de faire des recherches sur internet pour trouver des clubs de collectionneurs de plaques d’immatriculation au Québec qui correspondent à vos centres d’intérêts. Vous pouvez également consulter des sites web dédiés aux véhicules anciens ou aux clubs de collectionneurs pour trouver des informations sur les clubs de plaques d’immatriculation dans votre région.
Les plaques d’immatriculation anciennes étaient généralement fabriquées à partir de matériaux tels que l’acier émaillé ou le fer-blanc. Ces matériaux étaient résistants à la rouille et à la corrosion, mais étaient plus fragiles et sujets aux rayures et aux bosses que les matériaux modernes tels que l’aluminium ou l’acier inoxydable. Les caractères étaient généralement gravés ou frappés dans le métal et peints en blanc ou en noir pour être lisibles. Les plaques d’immatriculation anciennes étaient souvent plus petites et moins élaborées que les plaques modernes, mais elles étaient tout de même un élément important pour identifier les véhicules.
La première plaque d’immatriculation au Québec a été délivrée en 1906. à cette époque le propriétaire devait lui-même confectionner la plaque qui serait installé sur son véhicule. Plusieurs matériaux ont été utilisés, notamment le cuir, le bois, le carton et l’acier.
“C’est en 1908 que l’État s’est chargé de la confection des plaques minéralogiques. Avant d’en arriver à l’aluminium, Québec a expérimenté avec plusieurs matériaux, dont le caoutchouc, la porcelaine, la fibre et l’acier. Ce n’est qu’en 1951 que l’aluminium a été adopté. Les dimensions des plaques n’ont été définitives qu’en 1956, à la suite d’une demande de l’industrie automobile nord-américaine. Au Québec, ce n’est qu’en 1978 que l’on a cessé la production de plaques en paires pour des raisons économiques. Toujours pour la même raison, l’année suivante, Québec a instauré la plaque permanente.”
(source: La presse, la petite histoire de l’immatriculation)
La petite histoire de l’immatriculation | La Presse.
Enfin, il est important de prendre soin de sa collection de plaques d’immatriculation en les manipulant avec soin et en les rangeant dans un endroit sec et à l’abri de la rouille. Il est également important de ne pas utiliser des produits abrasifs pour nettoyer les plaques, car ils peuvent endommager la surface.